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faut-il changer de numéro de téléphone pour passer à la 3G ?

 

Les Algériens seront-ils obligés de changer leurs numéros de téléphone s’ils décident de passer à la 3 G ? Décidément, oui. C’est du moins ce que laisse entendre  Bessaï Mohamed Toufik, le nouveau Directeur général de l’Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT).
D’après le quotidien arabophone Echorouk, le nouveau patron de l’ARTP aurait fait savoir que ceux qui seront intéressés par le haut débit et les services de  la 3 G seront dans l’obligation de changer de numéros de téléphone puisque la “portabilité” n’est pas autorisée selon la loi algérienne sur les Télécommunications. D’ailleurs, les trois opérateurs de la téléphonie mobile ne couvriront pas toutes les wilayas du pays. Ces dernières seront départagées entre Nedjma, Mobilis et Djezzy selon un accord négocié et approuvé par l’ARPT.
Dans ce contexte, beaucoup de citoyens se verront obligés de changer d’opérateurs ou de numéros de téléphone pour pouvoir accéder à la 3G dans leurs wilayas respectives. Ce qui va provoquer, pour les opérateurs en particulier, et le secteur économique en général, des pertes colossales, estiment des observateurs avertis. Pour rappel, la “portabilité” consiste à changer d’opérateurs sans changer forcément de numéro. La nouvelle loi sur les télécoms, proposés au parlement par l’ancien ministre du secteur, Moussa Benhamadi, a planché sur cette question. Mais, suite au dernier remaniement ministériel, et la désignation à la tête de ce département de Fatma-Zohra Dardouri, la tutelle a décidé de retirer le texte en question en maintenant donc l’ancienne loi. Dardouri, qui était DG de l’ARPT auparavant, avait déjà, exprimé son opposition sur ce dossier à l’ancien ministre. Le retrait du projet de cette nouvelle loi ne manquera donc pas de porter préjudice de porter atteinte aux bonnes affaires des télécoms en Algérie.
Notons enfin que dans la majorité des pays qui ont lancé la 3G, aucun changement des numéros de téléphone n’a été imposé aux abonnés. Cette mesure ferait de l’Algérie, une nouvelle fois, un cas à part.
- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2013/10/algerie-faut-il-changer-de-numero-de-telephone-pour-passer-a-la-3g/#sthash.zBkgCgqT.dpuf
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D’après le quotidien arabophone Echorouk, le nouveau patron de l’ARTP aurait fait savoir que ceux qui seront intéressés par le haut débit et les services de  la 3 G seront dans l’obligation de changer de numéros de téléphone puisque la “portabilité” n’est pas autorisée selon la loi algérienne sur les Télécommunications. D’ailleurs, les trois opérateurs de la téléphonie mobile ne couvriront pas toutes les wilayas du pays. Ces dernières seront départagées entre Nedjma, Mobilis et Djezzy selon un accord négocié et approuvé par l’ARPT.
Dans ce contexte, beaucoup de citoyens se verront obligés de changer d’opérateurs ou de numéros de téléphone pour pouvoir accéder à la 3G dans leurs wilayas respectives. Ce qui va provoquer, pour les opérateurs en particulier, et le secteur économique en général, des pertes colossales, estiment des observateurs avertis. Pour rappel, la “portabilité” consiste à changer d’opérateurs sans changer forcément de numéro. La nouvelle loi sur les télécoms, proposés au parlement par l’ancien ministre du secteur, Moussa Benhamadi, a planché sur cette question. Mais, suite au dernier remaniement ministériel, et la désignation à la tête de ce département de Fatma-Zohra Dardouri, la tutelle a décidé de retirer le texte en question en maintenant donc l’ancienne loi. Dardouri, qui était DG de l’ARPT auparavant, avait déjà, exprimé son opposition sur ce dossier à l’ancien ministre. Le retrait du projet de cette nouvelle loi ne manquera donc pas de porter préjudice de porter atteinte aux bonnes affaires des télécoms en Algérie.
Notons enfin que dans la majorité des pays qui ont lancé la 3G, aucun changement des numéros de téléphone n’a été imposé aux abonnés. Cette mesure ferait de l’Algérie, une nouvelle fois, un cas à part.
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D’après le quotidien arabophone Echorouk, le nouveau patron de l’ARTP aurait fait savoir que ceux qui seront intéressés par le haut débit et les services de  la 3 G seront dans l’obligation de changer de numéros de téléphone puisque la “portabilité” n’est pas autorisée selon la loi algérienne sur les Télécommunications. D’ailleurs, les trois opérateurs de la téléphonie mobile ne couvriront pas toutes les wilayas du pays. Ces dernières seront départagées entre Nedjma, Mobilis et Djezzy selon un accord négocié et approuvé par l’ARPT.
Dans ce contexte, beaucoup de citoyens se verront obligés de changer d’opérateurs ou de numéros de téléphone pour pouvoir accéder à la 3G dans leurs wilayas respectives. Ce qui va provoquer, pour les opérateurs en particulier, et le secteur économique en général, des pertes colossales, estiment des observateurs avertis. Pour rappel, la “portabilité” consiste à changer d’opérateurs sans changer forcément de numéro. La nouvelle loi sur les télécoms, proposés au parlement par l’ancien ministre du secteur, Moussa Benhamadi, a planché sur cette question. Mais, suite au dernier remaniement ministériel, et la désignation à la tête de ce département de Fatma-Zohra Dardouri, la tutelle a décidé de retirer le texte en question en maintenant donc l’ancienne loi. Dardouri, qui était DG de l’ARPT auparavant, avait déjà, exprimé son opposition sur ce dossier à l’ancien ministre. Le retrait du projet de cette nouvelle loi ne manquera donc pas de porter préjudice de porter atteinte aux bonnes affaires des télécoms en Algérie.
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D’après le quotidien arabophone Echorouk, le nouveau patron de l’ARTP aurait fait savoir que ceux qui seront intéressés par le haut débit et les services de  la 3 G seront dans l’obligation de changer de numéros de téléphone puisque la “portabilité” n’est pas autorisée selon la loi algérienne sur les Télécommunications. D’ailleurs, les trois opérateurs de la téléphonie mobile ne couvriront pas toutes les wilayas du pays. Ces dernières seront départagées entre Nedjma, Mobilis et Djezzy selon un accord négocié et approuvé par l’ARPT.
Dans ce contexte, beaucoup de citoyens se verront obligés de changer d’opérateurs ou de numéros de téléphone pour pouvoir accéder à la 3G dans leurs wilayas respectives. Ce qui va provoquer, pour les opérateurs en particulier, et le secteur économique en général, des pertes colossales, estiment des observateurs avertis. Pour rappel, la “portabilité” consiste à changer d’opérateurs sans changer forcément de numéro. La nouvelle loi sur les télécoms, proposés au parlement par l’ancien ministre du secteur, Moussa Benhamadi, a planché sur cette question. Mais, suite au dernier remaniement ministériel, et la désignation à la tête de ce département de Fatma-Zohra Dardouri, la tutelle a décidé de retirer le texte en question en maintenant donc l’ancienne loi. Dardouri, qui était DG de l’ARPT auparavant, avait déjà, exprimé son opposition sur ce dossier à l’ancien ministre. Le retrait du projet de cette nouvelle loi ne manquera donc pas de porter préjudice de porter atteinte aux bonnes affaires des télécoms en Algérie.
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Source: algerie-focus
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D’après le quotidien arabophone Echorouk, le nouveau patron de l’ARTP aurait fait savoir que ceux qui seront intéressés par le haut débit et les services de  la 3 G seront dans l’obligation de changer de numéros de téléphone puisque la “portabilité” n’est pas autorisée selon la loi algérienne sur les Télécommunications. D’ailleurs, les trois opérateurs de la téléphonie mobile ne couvriront pas toutes les wilayas du pays. Ces dernières seront départagées entre Nedjma, Mobilis et Djezzy selon un accord négocié et approuvé par l’ARPT.
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