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Le gouvernement Algérien investira 2 milliards de dollars pour développer le haut et le très haut débit dans les cinq prochaines années, a déclaré dimanche un haut responsable du ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication (PTIC).

«Le gouvernement a dégagé un montant de près de deux milliards de dollars pour couvrir les investissements en matière d’infrastructures haut et très haut débit durant les cinq prochaine années ». C’est ce qu’a déclaré dimanche, M.Samir Djaalal, le chef de cabinet du ministère, à l’occasion d’un séminaire consacré aux réseaux de communication par la fibre otique. Une annonce coïncide avec l’arrivée de la 3G en Algérie, prévue pour ce début du mois de décembre.
Le développement de la fibre optique a été l’un des arguments phare du gouvernement, au cours de ces dix dernières années, sur ses intentions de développer les TIC en Algérie. Mais l’opération a connu des retards considérables du fait de l’absence de volonté politique réelle au plus haut sommet de l’Etat, faisant de l’Algérie l’un des plus mauvais élèves dans le monde en matière de passage à l’ère numérique.
L’argument du relief et de l’étendue du territoire
Le plan stratégique du monopole public Algérie Télécom, sur le fixe et l’ADSL, prévoyait de déployer 20.000 km de fibre optique sur la période 2013-2014. Mais 6 mois après le lancement du projet, seuls 1529 km ont été posés. «L’Algérie, depuis l’avènement de l’Internet, a consenti des efforts considérables pour améliorer et à mettre à niveau son réseau de télécommunication en tenant compte des contraintes liées à la nature très variée de son relief géographique et à l’étendue de son territoire», tente de se justifier le chef de cabinet du ministère. M. Djaalal a ajouté que l’Algérie a opté pour l’utilisation simultanée de plusieurs techniques, à savoir la fibre optique, l’accès hertzien et les communications spatiales.
Tous ces efforts, estime, le même responsable, se sont traduits par le déploiement, la modernisation et la sécurisation d’un réseau national de transmission, composé de 62 000 Km de fibre optique et de près de 45 000 Km de faisceaux hertziens numériques, sans oublier, ajoute t-il, les liaisons intercontinentales sous-marines en fibre optique qui permettent d’acheminer d’importants flux de trafic échangés sur le réseau Internet.

L'Algérie investira 2 milliards de dollars en 5 ans pour la fibre optique

Le gouvernement Algérien investira 2 milliards de dollars pour développer le haut et le très haut débit dans les cinq prochaines années, a déclaré dimanche un haut responsable du ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication (PTIC).

«Le gouvernement a dégagé un montant de près de deux milliards de dollars pour couvrir les investissements en matière d’infrastructures haut et très haut débit durant les cinq prochaine années ». C’est ce qu’a déclaré dimanche, M.Samir Djaalal, le chef de cabinet du ministère, à l’occasion d’un séminaire consacré aux réseaux de communication par la fibre otique. Une annonce coïncide avec l’arrivée de la 3G en Algérie, prévue pour ce début du mois de décembre.
Le développement de la fibre optique a été l’un des arguments phare du gouvernement, au cours de ces dix dernières années, sur ses intentions de développer les TIC en Algérie. Mais l’opération a connu des retards considérables du fait de l’absence de volonté politique réelle au plus haut sommet de l’Etat, faisant de l’Algérie l’un des plus mauvais élèves dans le monde en matière de passage à l’ère numérique.
L’argument du relief et de l’étendue du territoire
Le plan stratégique du monopole public Algérie Télécom, sur le fixe et l’ADSL, prévoyait de déployer 20.000 km de fibre optique sur la période 2013-2014. Mais 6 mois après le lancement du projet, seuls 1529 km ont été posés. «L’Algérie, depuis l’avènement de l’Internet, a consenti des efforts considérables pour améliorer et à mettre à niveau son réseau de télécommunication en tenant compte des contraintes liées à la nature très variée de son relief géographique et à l’étendue de son territoire», tente de se justifier le chef de cabinet du ministère. M. Djaalal a ajouté que l’Algérie a opté pour l’utilisation simultanée de plusieurs techniques, à savoir la fibre optique, l’accès hertzien et les communications spatiales.
Tous ces efforts, estime, le même responsable, se sont traduits par le déploiement, la modernisation et la sécurisation d’un réseau national de transmission, composé de 62 000 Km de fibre optique et de près de 45 000 Km de faisceaux hertziens numériques, sans oublier, ajoute t-il, les liaisons intercontinentales sous-marines en fibre optique qui permettent d’acheminer d’importants flux de trafic échangés sur le réseau Internet.