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L’Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT) vient d’autoriser Mobilis, Ooredoo et Djezzy à lancer la commercialisation de la téléphonie mobile de troisième génération (3G). L’annonce a été faite, hier soir, sur son site internet.
Ainsi, à la faveur du feu vert de l’ARPT, les opérateurs peuvent, désormais, procéder au lancement commercial de leur service 3G dans leurs wilayas respectives de déploiement conformément au cahier des charges.
 
Les Algériens peuvent, désormais, surfer sur leur smartphones et autres tablettes avec de très hauts débits en s’abonnant à l’un des opérateurs.
Mobilis, Ooredoo (ex-Nedjma) et Djezzy avaient reçu le 3 décembre dernier les notifications officielles de leurs licences définitives 3G dont le décret exécutif avait été signé la veille.
Le président du Conseil de l’ARPT, Mohamed Toufik Bessai, avait assuré que le lancement de la commercialisation de la 3G n’excédera pas la mi-décembre.
La ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Zohra Derdouri, avait qualifié l’octroi des licences définitives aux trois opérateurs de “jour historique que nous attendons depuis longtemps”.
Conditions d’abonnement à la 3G
L’ARPT a publié jeudi sur son site Internet deux décisions visant à “encadrer strictement” les conditions d’abonnement aux services de la licence 3G, dont la commercialisation en Algérie vient d’être lancée.
L’objectif de ces décisions étant de “séparer strictement les deux licences GSM et 3G en dépit de l’exception accordée par l’ARPT aux opérateurs de la commercialisation d’une carte SIM/USIM commune aux deux numéros GSM/3G pour les abonnés qui en expriment le souhait à l’opérateur”, a indiqué l’Autorité de régulation.
Il s’agit aussi de permettre que “cette césure nette entre les deux licences (GSM/3G) transparaisse dans les revenus engrangés au titre de chacune d’elles afin que les redevances assises sur le chiffre d’affaires de l’une ou de l’autre, ne souffrent pas d’ambiguïté”.
“A ce titre, utiliser le numéro GSM sur le réseau 3G n’est pas autorisé pour l’heure par le régulateur dans ladite décision”, a affirmé la même source.
Concernant la seconde décision, l’ARPT a précisé qu’il s’agissait de mettre en place “le mode opératoire d’une identification précise et incontestable de chaque abonné postpayé ou prépayé, gage de la constitution par les opérateurs d’une base de données de leurs clients 3G cohérente et fiable”.
L’identification précise de chaque abonné peut “assurer le régulateur que la statistique déclarée de leurs abonnés ne souffre pas des incohérences déjà rencontrées à l’occasion de la licence GSM comme la réunion d’un nombre anormalement important de numéros différents pour une seule et même personne ou même l’absence totale d’identification”, a expliqué l’ARPT.
Pour cette instance de régulation, “la garantie du respect de cette obligation ne peut se faire que de visu par le déplacement de l’usager aux agences commerciales ou points de vente agrées de l’opérateur, conformément au cahier des charges”.

La commercialisation de la 3G enfin lancée en Algérie

L’Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT) vient d’autoriser Mobilis, Ooredoo et Djezzy à lancer la commercialisation de la téléphonie mobile de troisième génération (3G). L’annonce a été faite, hier soir, sur son site internet.
Ainsi, à la faveur du feu vert de l’ARPT, les opérateurs peuvent, désormais, procéder au lancement commercial de leur service 3G dans leurs wilayas respectives de déploiement conformément au cahier des charges.
 
Les Algériens peuvent, désormais, surfer sur leur smartphones et autres tablettes avec de très hauts débits en s’abonnant à l’un des opérateurs.
Mobilis, Ooredoo (ex-Nedjma) et Djezzy avaient reçu le 3 décembre dernier les notifications officielles de leurs licences définitives 3G dont le décret exécutif avait été signé la veille.
Le président du Conseil de l’ARPT, Mohamed Toufik Bessai, avait assuré que le lancement de la commercialisation de la 3G n’excédera pas la mi-décembre.
La ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Zohra Derdouri, avait qualifié l’octroi des licences définitives aux trois opérateurs de “jour historique que nous attendons depuis longtemps”.
Conditions d’abonnement à la 3G
L’ARPT a publié jeudi sur son site Internet deux décisions visant à “encadrer strictement” les conditions d’abonnement aux services de la licence 3G, dont la commercialisation en Algérie vient d’être lancée.
L’objectif de ces décisions étant de “séparer strictement les deux licences GSM et 3G en dépit de l’exception accordée par l’ARPT aux opérateurs de la commercialisation d’une carte SIM/USIM commune aux deux numéros GSM/3G pour les abonnés qui en expriment le souhait à l’opérateur”, a indiqué l’Autorité de régulation.
Il s’agit aussi de permettre que “cette césure nette entre les deux licences (GSM/3G) transparaisse dans les revenus engrangés au titre de chacune d’elles afin que les redevances assises sur le chiffre d’affaires de l’une ou de l’autre, ne souffrent pas d’ambiguïté”.
“A ce titre, utiliser le numéro GSM sur le réseau 3G n’est pas autorisé pour l’heure par le régulateur dans ladite décision”, a affirmé la même source.
Concernant la seconde décision, l’ARPT a précisé qu’il s’agissait de mettre en place “le mode opératoire d’une identification précise et incontestable de chaque abonné postpayé ou prépayé, gage de la constitution par les opérateurs d’une base de données de leurs clients 3G cohérente et fiable”.
L’identification précise de chaque abonné peut “assurer le régulateur que la statistique déclarée de leurs abonnés ne souffre pas des incohérences déjà rencontrées à l’occasion de la licence GSM comme la réunion d’un nombre anormalement important de numéros différents pour une seule et même personne ou même l’absence totale d’identification”, a expliqué l’ARPT.
Pour cette instance de régulation, “la garantie du respect de cette obligation ne peut se faire que de visu par le déplacement de l’usager aux agences commerciales ou points de vente agrées de l’opérateur, conformément au cahier des charges”.