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    ازرار التواصل

La couverture des wilayas se fera selon le classement de l’ARPT qui s’attelle, actuellement, à évaluer les offres techniques et financières des opérateurs.
C’est une véritable bataille commerciale qui s’annonce avec l’amorce de la 3G en Algérie prévue pour décembre prochain. La couverture au départ ne sera pas généralisée à tous le pays et se fera sur pas moins de trois années. Il n’en demeure pas moins que la variété du déploiement reparti sur les trois opérateurs à savoir Mobilis, Djezzy et Nedjma ne fera que revigorer un marché longtemps concentré sur la voix et qui commence réellement à montrer une grande saturation.
La data permettra, en conséquence, de nouvelles perspectives pour le marché des télécoms qui s’impose désormais comme une partie intégrante des politiques de développement à l’échelle nationale tout autant que pour les régions. Les opérateurs de téléphonie mobile autant que leurs partenaires (distributeurs, développeurs) auront, inéluctablement, un rôle déterminant à jouer dans cette nouvelle équation qui devra, encore une fois, chambouler le quotidien des Algériens.
En attendant, c’est au compte-goutte que le contenu du cahier des charges concernant la 3G continu à alimenter les supports médiatiques notamment du côté de Mobilis qui choisi la voie de la communication. Aussi, Saad Damma, P-DG de l’opérateur public a indiqué, récemment, que « l’offre 3G sera segmentée de façon à répondre à toutes les attentes » insistant toutefois sur les tarifs de lancement qui seront plutôt élevés au départ.
«Il y’aura plusieurs plafonnement mais sans donner accès à toutes les applications. Le Skype a titre d’exemple sera payant», a-t-il affirmé tout en rassurant « la tarification connaitra une baisse progressive avec l’augmentation du nombre d’abonnés tout comme cela s’est passé avec la 2G ».
Reste à savoir ce que donnera le classement de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) actuellement en phase d’études des offres techniques et financières des opérateurs. Le verdict tombera le 15 octobre prochain et déterminera d’emblée le rythme de la course durant laquelle les opérateurs devront faire preuve de célérité.

La 3G en Algérie pour décembre prochain, Skype sera payant

La couverture des wilayas se fera selon le classement de l’ARPT qui s’attelle, actuellement, à évaluer les offres techniques et financières des opérateurs.
C’est une véritable bataille commerciale qui s’annonce avec l’amorce de la 3G en Algérie prévue pour décembre prochain. La couverture au départ ne sera pas généralisée à tous le pays et se fera sur pas moins de trois années. Il n’en demeure pas moins que la variété du déploiement reparti sur les trois opérateurs à savoir Mobilis, Djezzy et Nedjma ne fera que revigorer un marché longtemps concentré sur la voix et qui commence réellement à montrer une grande saturation.
La data permettra, en conséquence, de nouvelles perspectives pour le marché des télécoms qui s’impose désormais comme une partie intégrante des politiques de développement à l’échelle nationale tout autant que pour les régions. Les opérateurs de téléphonie mobile autant que leurs partenaires (distributeurs, développeurs) auront, inéluctablement, un rôle déterminant à jouer dans cette nouvelle équation qui devra, encore une fois, chambouler le quotidien des Algériens.
En attendant, c’est au compte-goutte que le contenu du cahier des charges concernant la 3G continu à alimenter les supports médiatiques notamment du côté de Mobilis qui choisi la voie de la communication. Aussi, Saad Damma, P-DG de l’opérateur public a indiqué, récemment, que « l’offre 3G sera segmentée de façon à répondre à toutes les attentes » insistant toutefois sur les tarifs de lancement qui seront plutôt élevés au départ.
«Il y’aura plusieurs plafonnement mais sans donner accès à toutes les applications. Le Skype a titre d’exemple sera payant», a-t-il affirmé tout en rassurant « la tarification connaitra une baisse progressive avec l’augmentation du nombre d’abonnés tout comme cela s’est passé avec la 2G ».
Reste à savoir ce que donnera le classement de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) actuellement en phase d’études des offres techniques et financières des opérateurs. Le verdict tombera le 15 octobre prochain et déterminera d’emblée le rythme de la course durant laquelle les opérateurs devront faire preuve de célérité.